avec votre point 1 et votre point 2, et donc avec votre conclusion.

C'est bien en vertu de ce point 2 que je cherche toujours, par exemple, comment il est possible de tordre DH2 au point de lui faire presque dire le contraire de ce qu'il veut dire, et en tout cas au point de contredire quasiment toutes les interprétations autorisées de ce texte, afin d'essayer de résoudre l'apparente contradiction avec deux millénaires d'enseignement catholique.

Et je pense également que c'est bien ce que vont tenter de faire les participants aux discussions doctrinales.

Et lorsque je suis en face de cette apparente contradiction, et que je n'arrive pas à la résoudre, alors en attendant que les choses soient clarifiées, il me faut faire un choix. Et dans ce processus de choix, je suis plus enclin à croire les 2000 ans d'enseignement précédent, appuyés de toute la force des déclarations solennelles et autres anathèmes, que les dernières nouveautés, peu ou pas appuyées de déclarations péremptoires.

Enfin, juste en passant, l'intention du législateur, vous la recherchez comment ? Si c'est dans l'application pratique et les interprétations "authentiques" des réformes et textes du Concile dans les paroisses et diocèses de France qu'il me faut chercher un indice, j'ai bien peur de tomber du mauvais côté ! En matière d'interprétation du Concile par l'Eglise de France, on est à peu près à l'abri d'une bonne surprise !

Cordialement
Meneau