La réponse est simple : tous font la part belle à un évêque qui a arrêté de professer la foi catholique et ne font que de l’agit-prop en communicant à son sujet.

Quel sermon Mgr Gaillot aurait-il dispensé le jour des ordinations : invitation au mariage des prêtres ? Distribution de préservatifs ? Femmes prêtres ?

L’Eglise, le pape, la Tradition, ont trop souffert de ces prélats vendus à l’esprit du monde pour qu’on perde notre temps à les faire passer pour des hommes bienveillants et sympathiques.

Que cet évêque soit aimable, soit, en cercle privé ; on peut également faire un apostolat pour le ramener dans une droite ligne, mais l’utiliser pour faire parler est-ce bien « l’esprit de l’Eglise » ?

Non, Mgr Gaillot et Mgr Lefebvre n’ont pas subi « le même sort » : le premier n’a même pas été suspens alors qu’il a répandu des erreurs doctrinales de manière publique, tandis que le second a subi la pire des injustices pour avoir simplement confessé la Foi.

Seul le libéralisme permet de rapprocher artificiellement ces deux figures que tout oppose.

Ce dont nos avons besoin dans l’Eglise c’est de l’esprit surnaturel, c’est du silence de nos communautés religieuses.