pour tout ce qui relève du médical : le "100%" n'existe pas.
Aucune méthode, aucun traitement médicamenteux, aucune intervention chirurgicale ne peut se prévaloir de "100%" de réussite.

Pourtant nous avons recours à ces traitements relatifs car ils améliorent la situation de malades ... relativement.
La seule question scientifique serait : le préservatif est-il comme le "mediator" plus dangereux que de ne rien prendre ?
Dans le relatif où se situe-t-on ?

C'est bien pourquoi la position de l'Église qui rappelle les grands principes qui président à la relation conjugale avant "l'usage limité" dudit préservatif est cohérente en n'esquivant pas le risque moral et la part même réduite de risque médical qui est liée au premier.
Mais l'Église n'a jamais fait l'impasse sur le relatif dans l'existence humaine : la thèse et l'hypothèse encore et toujours de Mgr Dupanloup en 1865 qui commentait le Syllabus.