Visiblement, il a dénoncé la perte d'une certaine esthétique dans le chant liturgique, ouevré pour la composition de chants de qualité. Mais, de l'autre côté, il affirme son soutien au "Comité de la jupe" (!). Je pose ma question aux spécialistes du paysage ecclésial actuel. La situation du RP GOUZES est peut-être moins originale que cela: elle semble attester que l'opposition à une saine vision de l'Eglise a cessé d'être le fait de progressistes ? En un sens, nous assistons à un "recentrage" de la contestation pour qui certaines infractions sont désormais des habitus (filles servantes d'autel, etc.).

Les difficultés de l'Eglise ne resident-elles pas dans un "personnel" qui a répudié le progressisme délirant, mais qui éprouve beaucoup de difficulté à se situer dans une perspective traditionnelle, au sens théologique du terme ? On le voit dans le corps épiscopal: il n'est plus toujours - une litote: il l'est rarement ! - progressiste, mais ne se "range" pas pou autant dans un souci de défense de l'Eglise et de sa Foi ?

Luc PERRIN pourrait-il me répondre ?