et nous ressortir des textes sans doute très bons mais sans rapport avec le sujet, expliquez nous point par point ce qui pourrait justifier qu'on refuse à un évêque les droits liés à sa juridiction.

Parce que c'est bien de ça dont il s'agit, aucune contrepartie "conciliaire" (pour faire court) n'étant demandée par l'évêque.

A moins de penser qu'une confirmation par lui serait moins bonne malgré le bon rite, que les huiles saintes ne le sont pas ? Mais alors si c'est le cas, il va falloir tirer de très lourdes conséquences de ce que vous avancez.

Peut-on refuser de lui demander le droit de confesser dans son diocèse s'il se dit prêt à l'accorder sans contrepartie ? Non. Ou alors ça veut dire que vous ne lui reconnaissez pas l'autorité qui lui vient de Rome même quand cette autorité ne s'oppose en rien à votre salut.

Vous ne pouvez pas mettre en doute ses propositions a priori. Comme le disait déjà Justin (il me semble) la FSSPX ne perdrait rien à essayer puisque si les choses tournaient mal, elle pourrait très facilement revenir en arrière.

Enfin, j'ajouterai pour finir qu'un évêque a pris la peine de communiquer en direct sur le FC, il s'est engagé publiquement, et en tant que modérateur ayant reçu son courriel, je peux affirmer qu'il a tenu à ce que ces propos soient publics. On voit mal pourquoi il aurait pris la peine de perdre son temps parmi nous pour se désavouer publiquement par la suite...