Des hérétiques, il y en a toujours, mais Dieu merci de moins en moins!
Il y a très peu de vocations chez les modernistes (à part une de temps en temps par génération spontanée, comme Julien d'un certain blogue).
Les jeunes Prêtres, les séminaristes sont peu nombreux, mais ils sont d'un cru exceptionnel: leur vocation a mûrie dans les conditions éprouvantes pour toute âme de la société actuelle. Voyez-les, nos jeunes Prêtres diocésains (dans les diocèses où il y en a, des jeunes Prêtres diocésains, je sais que ce n'est pas partout), nos Prêtres et séminaristes de la Communauté St Martin, des séminaires de Toulon, d'Ars, de Bayonne...
Le temps va se charger de couper les branches sèches qui ne portent pas de fruit dans le clergé français plus sûrement que nos cris et notre indignations. Ils seront peu, mais fidèles...
A moins qu'on préfère la situation d'aujourd'hui qui n'est pas si mal au point de vue du nombre: certains de nos Prêtres sont peut-être modernistes, mais au moins nous en avons un certain nombre (la France est le
5ème pays du monde pour le nombre de Prêtres).
De toute façon nous n'avons pas le choix, le futur qui se dessine c'est moins de Prêtres (de fidèles aussi d'ailleurs), mais plus fidèles au Christ, à l'Église, au Pape.
+ Pax et Bonum