breuvage.
Ainsi, pour les contrats de prévoyance santé d'entreprise, dans le cadre de l'article 83 du CGI les salariés seront contraints de souscrire un contrat dit responsable qui intègre obligatoirement le remboursement de l'avortement et autres horreurs.
Pourquoi?
parce que le terme de responsable implique de suivre la nomenclature de la sécu ( sauf quelques actes annexes au choix de l'assureur et du salarié).
Que vous soyez chez A ou B vous aurez la même philosophie de prestations obligatoires.
De même en prévoyance décès-incapacité:
si vous étiez contraints aux obligations de convention collective à souscrire auprès d'un organisme dédié, aucune liberté dans le choix des garanties, prestations, taux de cotisations, du moins pour le régime de base.

A moins d'établir des lignes additives pour certains risques afin de pallier l'obsolescence des logiques assurancielles ou l'absurdité de certaines clauses obligatoires (du genre rente de conjoint pour des salariés célibataires et rentes éducation pour les enfants de 18 ans au lieu de capitaux)
En effet, parmi cette jungle , un guide tel le courtier ou le consultant indépendant est le moyen de s'en sortir et d'établir au mieux en efficacité ses programmes de prévoyance.

Autre aspect: par le système de réassurance, les assureurs croisent leurs risques financiers.
Vous pensez ainsi souscrire dans un mutuelle ou une institution de prévoyance au sens strict et aléatoire du terme alors que derrière, vous avez un assureur bien capitaliste.
(ceci n'est pas un reproche mais un constat)