Il n'est pas question ici de mettre en rapport deux personnages sous prétexte qu'ils sont tous les deux critiques. Il s'agit de les jauger par rapport au fond.

M. Seneze est un accident dans l'histoire de l'Eglise, tout comme son clergé, son rite et le parti moderniste qu'il défend et dont il fait partie. Preuve en est que lorsque les cardinaux se conduisent enfin en cardinaux, M. Seneze les insulte de la manière la plus odieuse qui soit. Madiran au contraire est un défenseur de l'Eglise et de sa Tradition, qui aurait dû être encouragé, au moins discrètement par la hiérarchie catholique.

Nous n'avons plus à en discuter. M. Seneze et le parti moderniste ont déjà perdu et sont déjà jugés. C'est inhérent à la nature même de l'Eglise : elle expulse lentement mais sûrement les hérésiarques et tous les corps étrangers qu'elle ne peut posséder que par accident. Le processus est en cours et ne s'arrêtera pas. M. Seneze peut toujours couvrir d'immondices la hiérarchie de l'Eglise. Ca ne changera rien.