Ils précisent instamment que la levée de l’excommunication n’est pas une réhabilitation.

De quel droit ? Bénéficient-ils d'un don de clairvoyance leur permettant d'interpréter à la lumière de l'Esprit-Saint ? Ce serait un scoop !

En aucun cas, le Concile Vatican II ne sera négociable.

Qu'en savent-ils ? Sont-ils à la place de Benoît XVI ? Ce qu'un pape a fait, un autre pape peut le défaire...

Aucun groupe ecclésial ne peut se substituer au magistère.

Certes, idem pour une bande d'épiscopes chroniquement antiromains, désobéissants et modernistes.

Les évêques saluent la volonté du Saint-Père d’aller jusqu’au bout de ce qu’il pouvait faire comme invitation à une réconciliation.

Ça me rappelle leur communiqué de juin 88 : "le Saint-Père est allé jusqu'au bout des concessions possibles"... Autrement dit : "le Pape ne peut pas aller plus loin !" Encore une fois, au nom de quoi ? De quel droit ces énergumènes vont-ils dicter sa conduite au Saint-Père ?

Ils sont en communion avec lui dans l’exercice de la vigilance épiscopale.

Tu parles ! Ce sont des mots, des clauses de style... Il y a longtemps que nous avons compris que la plupart d'entre eux étaient révulsés par le coup de barre de Benoît XVI en direction de la Tradition catholique. Leurs commentaires fielleux d'après Summorum Pontificum suffisent à le montrer.

Ils bouent, ils trépignent, ils éructent ! Tant mieux !

Ils expriment leur soutien et leur reconnaissance aux prêtres, diacres, religieux et laïcs qui composent l’Eglise catholique en France et animent fidèlement les communautés chrétiennes vivantes et proches des hommes de ce temps.

En d'autres termes : l'Eglise est coupée en deux : il y a les méchants et les gentils...

La prise de parti est claire : en dépit de ce que veut le Pape, les évêques soutiennent donc les progros, les modernos grisonnants qui ont foutu l'Eglise de France par terre et qui continuent à s'acharner sur ses ruines.

Avec le modernisme plutôt qu'avec le Pape.

Ils ont perdu la guerre.
Ils ne veulent pas l'admettre.
Ils iront jusqu'au bout : politique de la terre brûlée.

Il nous faut une administration apostolique, hors de question d'obéir à des guignols pareils !