Lettre à vous deux : Je ne vous demande pas d'excuses à vous qui revez de me tuer virtruellement
Castille -  2010-03-21 10:02:05

Lettre à vous deux : Je ne vous demande pas d'excuses à vous qui revez de me tuer virtruellement

Mais vous exhorte à vous réconcilier avec votre conscience. Faites la paix avec vous-mêmes. Nous avons tous des nœuds dans notre vie et nous venons sur la toile pour trouver à sinon les défaire mais les apprivoiser. N’étant pas de la pâte dont on fait les victimes, je vous protège de votre vocation de bourreau. Toutefois ce sport que vous affectionnez consistant à égratigner Castille, je ne saurais trop vous encourager à l’abandonner. Depuis votre dernière saillie je ris bien moins. C’est vrai en plus ! Mais ne comptez pas me mater au point de ne plus oser. Gens, situations, répliques sont souvent drôles sur ce forum. Il vous arrive même d’y compter. Je ne suis pas quelqu’un de torturée ni de malade, et aucune souffrance ne me peut transformer, on le sait Là-haut car on m’éprouve sans cesse. Mon incroyable force mentale mon endurance, et mon amour pour la Très Sainte Vierge me préserveront toujours de renier mon Dieu. ….Sa grâce me suffit. Il est hors de question que je clique sur le FC le ventre noué car Pierre Marciani ou Cath…O etc-m’auraient encore blessée. C’est vain que vous me frapperez. Je ne suis pas de ceux qui tombent. En revanche, pour avoir passé la nuit à entendre palpiter mon cœur « à côté de moi-même » tant violente était votre dernière agression, je peux vous dire comme un conseil qu’il vous serait profitable d’ignorer le pseudo Castille à défaut de l’aimer. Ce que vous ferez au plus petit d’entre vous c’est à moi que vous le ferez: n’ai pas la prétention d’être la plus petite, loin s’en faut. Il est long le chemin de la perfection, je n’ai pas cet orgueil de l’humilité la plus humble. Toutefois, JAMAIS je n’ai eu à souffrir sans pleurer par la suite sur mon agresseur. Dieu ne m’a JAMAIS laissée à la merci de mes ennemis. La nuit m’a conseillé de vous le dire. Je viens ici vous offrir ma paix. J’ai essayé hier un post maladroitement complice au sujet de votre faute de frappe, mais visiblement, l’aspect clin d’œil de l’affaire vous aura échappé tant chez vous il y a une acidité rarement rencontrée chez un homme. Hormis Voltaire... et son occlusion intestinale. Vous vous appliquez à paraître plus mauvais que méchant. Ce n’est pas joli à voir. Pourtant par moment il y a des étincelles de bonté….comme un briquet qui n’a plus de gaz. On ne répand pas tant de souffre sans s’infecter soi-même. Je n’y crois pas. Vous devez tremblez de rage derrière votre écran et c’est cela qui souille comme disait le Christ. Aimer Castille c’est une posture de l’âme, une inclination du cœur, et cela préserve de bien de maux. Tous les enfants m’aiment par exemple, j’en suis reconnaissante à Dieu….Sauf ceux qui ont déjà le cœur vicié car hélas, nous devenons souvent ce que nous avons toujours été. Dans ces patois subtils que l’on m’a présentés je souhaite qu’il vous soit révélé que votre bonheur dépend de la position de votre cœur….avec Castille. Je ne vous maudis pas, mais vous livre un secret. Je me répands en mot, quand vous n’êtes qu’ellipse. J’aime beaucoup Cath...O. Pourquoi donner libre cours à cette haine envieuse qui vous fait paraitre si laide, quand votre retenue même vous fait deviner belle ? Je dis « retenue » parce que je ne souhaite à personne de souffrir du cœur sec. C'est une chose horrible que l'amertume. Cherchez des raisons de m'aimer et votre vie s'illuminera. Il y a des gens comme ça. Ils ne l'ont pas choisi, mais ils portent chance aux autres, même si eux sont malheureux souvent. Pour finir j’ai beau m’astreindre à vous préserver en ne pleurant pas « de votre fait », j’ai le devoir de vous mettre en garde : Rendez-vous le service de demander pardon à Dieu dans le secret de votre cœur. Je compte dans l’Au-delà des amitiés sublimes qui n’apprécient pas que l’on me peine par amour déplacé de la facilité. Cheat mode : Et si je vous étais donnée pour faire un travail sur vous-mêmes ? Pensez au jour où l'on vous demandera "Pourquoi n'avoir pas traité autrement Castille? Parce qu'elle n'était pas conforme à ce que vous vouliez? Tout est test avec le Ciel. J'agace, comme on trie, pour vérifier si l'on peut dépasser la forme pour s'attacher au fond. Non que je prétende qu'il faille aimer tout le monde, mais il ne faut pas se laisser pénétrer par l'autre que l'on prétend insupportable au point de s'en rendre débiteur devant la justice divine. PS/ Je cours à la messe où je prierai pour vous. La fleur c'est parce que je viens sans armes. Et vous remercie de m'avoir donné l'occasion de vous écrire cette lettre en surmontant mon orgueil. Je vais à la caisse, car ça rapporte gros tout ça! Je pourrais rire là, non? "Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous"