Mgr Stenger n'a pas prononcé de sanction spéciale en 2001 ni "réitéré" quoi que ce soit. L'évêque de Troyes a pris acte du rejet des différents recours introduits par l'abbé de Nantes auprès des instances romaines et, par conséquent, informé les fidèles que les sanctions édictées antérieurement restaient en vigueur.
L'abbé de Nantes n'a jamais été sous le coup que d'une seule et unique sanction: la "suspens a divinis" Le reste n'est que spéculation sans fondement solide, les évêques qui se sont succédés à Troyes ne le savent que trop. Mgr Daucourt, en tentant de "régler" la situation par un coup de force en 1997, a rompu le fragile équilibre du "statu quo" qui durait depuis 1966 entre le diocèse et la communauté... Et pour qui dispose d'un peu de bon sens, il est aisé de comprendre que si les décisions alors édictées avaient reposé sur des bases solides, nul doutes qu'à la suite de l'appel de l'abbé de Nantes, Rome eut étendu la suspens et confirmé l'interdit au delà des frontières du Diocèse... Le Vatican n'a pas jugé bon de le faire, pourquoi? Quant à une éventuelle réconciliation, elle est sans objet, vu que l'abbé de Nantes n'a jamais été excommunié. Il n'y a qu'un procès à instruire... qui se lance?