JVJ -  2010-02-18 23:37:03

Je vais m'endormir avec Luc Perrin

, façon de parler car je suis marié, que je lirai dans la Revue des sciences religieuses, laquelle j'apprécie modérément et dont je ne suis pas la production attentivement : la preuve car je pensais avoir une bibliographie à jour de l'historien... Même si Foucauld n'est pas franchement du genre à me stimuler... L'intéressé a dû apprécier... M Perrin pourrait-il, en historien, répondre à ma supplique qui n'a rien de comminatoire : écririez-vous aujourd'hui 1. "l'abbé Georges de Nantes" pour une notice dans un dictionnaire, et 2. "prêtre catholique" ? Vous critiquiez, sans citer, une notice perfectible de la 1ère (?) édition du Dictionnaire Historique de la Papauté dirigé par un très grand historien du christianisme contemporain. Pourquoi parler de cela ? Car le pauvre Benoît XIII est qualifié d'antipape. Ce n'est pas un mince problème pour l'historien. L'abbé Berto est resté dans l'Eglise. Un homme comme celui qui est mort, ne peut se juger d'un bloc, il faut périodiser. Mais que les louangeurs soient libres d'exercer leur esprit critique. J'ai rencontré un membre de la CRC, qui a tout de suite afficher la couleur sans savoir à qui il avait affaire (or la CRC est très peu connue hors des clercs et des tradis, reconnaisez-le), dans des archives départementales qui recherchait le linceul de Turin (il avait raison car le linceul était passé par la collégiale de Lirey) mais sans une once de compétence paléographique... J'ai lu ensuite son article où il était question des templiers. Fermer le ban. On trouvera aussi des illuminés, et moins bien élevés, chez les "progressistes", des évêques, des syndicalistes, des profs, des charcutiers, etc Mais vivre en vase clos n'est pas franchement le plus conseillé à moins d'être chartreux.