sur un plan doctrinal, il ne peut y avoir d'accord au sens de compromission car la vérité ne se compromet pas.
C'est tout le problème. Mais, précisément, qu'est-ce que ça veut dire ? Chaque partie à la discussion en convient. cela signifie-t-il que chaque partie revendique pour soi seule d'avoir la vérité - auquel cas, par hypothèse, l'accord est impossible, puisqu'à la céder il y aurait compromission ? Ou cela veut-il dire que chaque partie tient en mains des parts de vérité que l'autre pourra faire siennes sans se compromettre, de sorte qu'un accord soit possible ? Si c'est le cas, sur quoi porteront-elles, ou peuvent-elles porter ?