Je suis convaincu que les dégâts que nous avons subis en ces vingt années ne sont pas dus au ‘vrai’ concile, mais au déchaînement, à l’intérieur de l’Eglise, de forces latentes agressives et centrifuges ; et à l’extérieur, ils sont dus à l’impact d’une révolution culturelle en Occident : l’affirmation d’une classe moyenne supérieure, la nouvelle ‘bourgeoisie du tertiaire’, avec son idéologie libéralo-radicale de type individualiste, rationaliste, hédoniste (p. 31)
Vatican II est issu de la même autorité que Vatican I et le Concile de Trente : c’est-à-dire le pape et le collègedes évêques en communion avec lui (...) Il est impossible de prendre position en faveur du Concile de Trente et de Vatican I et contre Vatican II. (p. 28-29)