XXV. Qu'il faut travailler avec ferveur à l'amendement de sa vie
10. Quand un homme en est venu à ne chercher sa consolation dans aucune créature, c'est alors qu'il commence à goûter Dieu parfaitement, et qu'il est, quoiqu'il arrive, toujours satisfait.
Alors il ne se réjouit d'aucune prospérité et aucun revers ne le contriste; mais il s'abandonne tout entier, avec une pleine confiance, à Dieu qui lui est tout en toutes choses, pour qui rien ne périt, rien ne meurt, pour qui au contraire tout vit, et à qui tout obéit sans délai.
Source : L'Imitation de Jésus-Christ traduit par l'abbé F. de Lamennais, Dijon, Pellion et Marchet Frères, 1870
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde |