...et pas seulement Google, mais le moteur de recherche du FC, celui d’Acrobat, de Windows, etc. Ce sont eux qui suppléent à l’encombrement de ma mémoire !

- que le 3ème secret de Fatima, qui commence par ces mots : "Au Portugal se conservera toujours le dogme de la Foi, etc ..." fait, comme le croyait le plus grand spécialiste de Fatima, le père Alonso, sans doute "des allusions concrètes à une crise de la foi dans l'Eglise et à de graves négligences pastorales de la haute hiérarchie de l'Eglise".

C’est le plus probable. Il y a aussi, peu de temps avant la mort de Pie XII (*), cette réflexion de Sœur Lucie au R.P. Fuentès, alors postulateur de la cause de béatification de ses cousins François et Jacinthe :

Toutefois mon Père, il faut dire aux gens qu’ils ne doivent pas rester à espérer un appel à la pénitence et à la prière, ni du Souverain Pontife, ni des évêques, ni des curés, ni des supérieurs généraux. Il est grand temps que, de sa propre initiative, chacun accomplisse de bonnes et saintes oeuvres et réforme sa vie selon les désirs de la Madone...

Si par ailleurs – la Sainte Vierge l’a répété à Lucie – “les ultimes remèdes donnés au monde sont le Saint Rosaire et la dévotion au Cœur Immaculé de Marie”, on ne peut d’après moi échapper à cette conclusion inouïe : à l’heure présente, aucun secours efficace n’est à attendre de la hiérarchie de l’Église ! Ce qui corrobore l’avis du R.P. Alonso que vous venez de rappeler, et confirme que la sortie de la crise affreuse que nous connaissons sera bien, comme l’annonçait le R.P. Maximilien Kolbe, le fruit de la dévotion à la Vierge Immaculée.

(*) Le texte auquel je fais référence a été publié à Rome en 1961, mais l’entretien avec Sœur Lucie date en fait du lendemain de Noël 1957.