où alors votre obligation dominicale vous imposait comme souvent de rester à une messe (?)(ou à une célébration pasteurisée)avec prêche pasteurisée, et faux credo, et peut-être que le pasteur a concélébré ensuite, puis que pour le faire participer activement, l'équipe liturgique (pas le curé qui a été devancé)lui a proposé de donner la communion ou plutôt de faire partager un morceau de pain bénit (je me trompe?).

Mais une messe dans de telles conditions sur-imposées, quand on n'a pas le choix, permet-elle de remplir son obligation dominicale?

J'ai eu quelque courage parfois et même de nombreuses fois, quand, n'ayant pas le choix, j'en ai connu aussi des vertes et des pas mûres, mais jamais je n'ai eu la malchance d'avoir un pasteur ou une pasteuse en prime des excentricités pseudo-liturgiques de l'auto-célébration des animateurs d'une petite communauté refermée sur elle-même de ce qui ne s'appelle pas toujours messe sur les feuilles paroissiales mais célébration ou célébration eucharistique!

Enfin, pour de telles occasions on est dans la maison du Seigneur et, quand le brouhaha n'est pas trop dérangeant, on peut toujours en profiter pour prier aux innombrables intentions que l'on a en réserve.

Prions pour tous ceux qui, malheureusement, "doivent" endurer ce qui n'est pas demandé par l'Eglise.

Bien à vous
Chorus