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JUILLET 2003 A MARS 2011

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L'ABBÉ DE TANOÜARN EST-IL DU CAMP DU CHRIST OU DE L’ANTICHRIST ? Imprimer
Auteur : Florent-Jean
Sujet : L'ABBÉ DE TANOÜARN EST-IL DU CAMP DU CHRIST OU DE L’ANTICHRIST ?
Date : 2004-07-12 17:40:18

Personne aujourd’hui n’ignore les relations étroites qui existent depuis longtemps entre l’Abbé de Tanoüarn (FSSPX) et Alain de Benoit.
Rappelons qu’Alain de Benoit est un maître-à-penser de la Nouvelle Droite, ésotériste, néo-païenne, et parfois luciférienne. Proche aussi du GRECE et de divers officines pronant le retour au culte des idoles nordiques. Proche également du pornographe Guillaume Fay et du sataniste Christian Bouchet.
Vous comprenez donc l’empleur du scandale... D’où la question qui brûle inévitablement nos lèvres... L’Abbé de Tanoüarn est-il du camp du Christ ou de l’antichriste ?

Voici une lettre de l’Abbé de Tanoüarn à “son ami” Alain de Benoit !

“Par-delà nos empires intérieurs...”
par l'Abbé Guillaume de Tanoüarn

Cher Alain,

Au moment de vous écrire ces quelques mots, à l'occasion de votre soixantième anniversaire, je réfléchissais à ce qui nous est commun et à ce qui nous donne le bonheur de nous rencontrer depuis plusieurs années. En imaginant les réactions des uns et des autres, devant cette lettre, je sentais, déjà palpable, la désapprobation, plus ou moins compassée, plus ou moins exprimée, de vos amis et des miens, et puis je voyais la satisfaction de vos adversaires qui sont aussi les miens et qui pourront alimenter leur ignoble petite boîte à fiches. Une fiche de plus. Au même moment, laissant traîner mes yeux sur votre dernier opus, Critiques-Théoriques, je pus donner un nom à ce qui nous rapproche envers et contre tout: : un moine à la tonsure largement apparente orne la couverture. Il copie un manuscrit, transmettant à la postérité quelques éclats d'une pensée qui sans lui aurait irrémédiablement disparu. Je me suis dit que vous étiez ce moine copiste, inlassablement attaché à lire et à transmettre les matériaux intellectuels qui demeurent utilisables dans notre société paresseuse ou dépressive, recueillant des informations aux quatre coins du monde, menant une vie d'ascète, non par goût mais par choix, parce que, dans votre immense bibliothèque personnelle, qui doit avoisiner les 200 000 volumes, vous avez voulu vous mettre en quelque sorte au service du savoir... Je crois que c'est de manière très consciente d'elle-même que vous avez souhaité incarner ainsi la première fonction sociale définie par Georges Dumézil, celle des clercs. Aussi surprenant que cela puisse paraître, c'est en tant que membres de la cléricature que nous nous apprécions l'un l'autre...
Notre complicité (c'est un mot que vous employez vous-même dans votre journal) échappera toujours aux petits esprits bien formatés ; elle inquiétera les âmes faibles. Et pourtant - paradoxe ! - rien n'est mondain dans la sympathie profonde qui nous lie. Oh ! Il y a d'abord votre générosité, toujours accessible: voilà dix ans, je n'étais qu'un blanc-bec, vêtu de noir et cuirassé de certitudes. Mais le contact entre nous s'est établi immédiatement et vous me donniez l'impression que cela se passait sur un pied d'égalité... Depuis, j'ai eu le loisir d'admirer votre fidélité indéfectible, votre attention, votre façon de vous mettre dans la peau de votre interlocuteur d'un soir, cherchant à deviner avec lui (et si possible avant lui) les obstacles ou vous réjouissant des courants ascendants et de toutes les bonnes fortunes. Entre nous, d'emblée, il ne s'agissait pas d'une simple curiosité réciproque qui, de mon côté se serait teintée d'une admiration légitime pour l'ampleur d'une œuvre contemporaine. Non! Notre amitié s'est fondée sur un véritable échange. J'espère que cela ravira ceux qui croient encore, au-delà du grand brouillard des humeurs et des partis pris personnels, à l'obscure lumière qui habite chaque cœur d'homme et à ce qu'Aristote appelait l'inévitabilité du vrai.
Je voudrais, pour me faire comprendre, donner un exemple de notre complicité inattendue : c'est avec vous - avec vous qui vous déclarez païen - oui, c'est avec vous et pas avec un directeur de séminaire, que j'ai eu, il n'y a pas si longtemps, cette conversation profonde sur la vocation sacerdotale, sur son aspect irritant de prime abord et sur sa persistance envers et contre tout au long d'une vie. Il me souvient que vous croyiez (comme Bossuet) qu'il y a des prêtres-nés. Vous pensiez sans doute à votre interlocuteur, sans le dire. Moi, j'avoue que je pensais à vous – "prêtre-né" qui, dans un monde désespérément embourgeoisé, avez choisi des valeurs peu monnayables pour en vivre, et qui ne sauriez vivre autrement.
II est vrai pourtant que l'antichristianisme est l'une des constantes de votre parcours militant et de votre cheminement intellectuel. Je sais bien que je parle à un membre éminent du Cercle Ernest Renan. Je sais que, dans l'étude que vous m'avez dédiée, non sans une pointe d'ironie sans doute, sur les frères de Jésus, vous vous êtes voulu l'émule de l'ancien séminariste, devenu un grand historien. II ne s'agit pas de mettre cela de côté, comme on laisse de côté les choses qui fâchent. Mais je crois comprendre que votre opposition foncière au christianisme est d'abord d'ordre moral - et donc, si vous me permettez cette nouvelle pointe, qu'elle est de nature toute "sacerdotale" en son fond. Cette étude volumineuse que vous avez publiée sur les frères de Jésus n'est qu'un des arguments que vous voulez mettre en avant contre ce qui, pour vous, représente "le mal" encore plus que "l'erreur". Que vous importerait une erreur de plus ou de moins ? Non, le problème n'est pas là pour vous. Vous pensez, comme Nietzsche, que le christianisme c'est "la non-valeur de toutes les valeurs". Vous ajouteriez sans doute : "C'est la faute à saint Paul, la faute à saint Augustin". Cette faute-là est pour vous indéniablement plus lourde dans l'histoire de l'humanité que la faute à Voltaire ou la faute à Rousseau. C'est que, comme Nietzsche encore, vous avez tragiquement besoin d'un espace où l'innocence du monde puisse exister à l'air libre et vous considérez ces deux personnages - Paul et Augustin - comme les malfaiteurs qui, au nom du paradis dans l'autre monde, ont privé les hommes de la possibilité de l'innocence, en leur collant à la peau un péché d'origine... Le christianisme, pensez-vous, a subtilisé au monde sa noblesse au nom d'une loi identique pour tous, il a interdit la vertu au nom des grands principes, il a brisé sans pitié le grand élan des cœurs d'homme pour y substituer un amour tout passif (bouddhiste disait Nietzsche), sans saveur, sans plaisir et sans grâce. Voilà me semble-t-il le fond de votre antichristianisme moral.
Et pourtant, lorsqu'on s'absorbe quelque temps dans vos Minima moralia, lorsqu'on compulse vos notes pour conclure le siècle, publiées sous le titre Dernière année, surprise : la morale que vous défendez ressemble sans conteste à une des plus célèbres expressions de la morale chrétienne, celle de saint Thomas. Contre les principes universels, contre l'idéalisme vide et parfois néanmoins mortel, contre l'utilitarisme, contre le subjectivisme, contre cet individualisme sublimé qui se réclame sans cesse d'un combat pour les valeurs et que l'on nomme "personnalisme", vous prônez un aristocratisme tempéré et vous en appelez à une morale des vertus. Vous chantez la nature, où vous voyez le véritable règne des fins, une invitation à l'excellence qui s'adresse à la forme humaine dans sa consistance hylique. Je n'ai pas rêvé lorsque j'ai lu ces formules de feu, qui concluent votre "Petite Morale". Vous y invitez vos lecteurs à "une autre approche, qui ne consisterait ni à poser la nature humaine comme antagoniste de la liberté [comme le fit Kant, le grand castrateur], ni à prôner un "retour à la nature" comme paradigme perdu [ainsi que le font trop légèrement les défenseurs à tous crins d'un droit naturel laïc et comme le firent in illo tempore les déistes de tout pelage], mais à voir dans la nature (phusis) l'espace où s'inscrit naturellement la possibilité pour l'homme de se donner la dimension de profondeur - l'excellence - qui correspond à son essence et à sa fin" (Critiques-Théoriques, p. 557). J'ai bien noté que vous parlez d'une essence humaine, je souligne que vous assignez volontiers à l'homme l'espace (ou la profondeur) d'une "nature" pour s'épanouir et que, dans cet espace qui est son réel à lui, vous l'invitez à l'excellence (en grec arété : la vertu). Mais c'est tout le substrat philosophique de la Somme théologique, cela ! Et peu importe finalement que ce soit ce Germain de Heidegger qui ait remis à la mode la phusis si, quant à vous, vous la voyez cette phusis, non pas dans le brouillard de la grande forêt primitive, mais plutôt comme un réel principe régulateur, disponible ici et maintenant! Plût au Ciel qu'un théologien, qu'un clerc catholique ait le courage de parler ainsi, conformément à sa Tradition ! Plût au Ciel que la théologie accepte cette source grecque, que Joseph de Maistre appela "la préface humaine à l'Évangile".
Il me semble, cher Alain, malgré tout ce qui nous sépare effectivement et qu'il serait vain d'oublier même un instant, qu'actuellement, vous et moi, non seulement nous sommes, par un côté, confrères dans une sorte de cléricature introuvable, que Dumézil fit remonter aux Indo-Européens, mais surtout que nous ne sommes pas loin d'être théologiquement de la même obédience, une obédience grecque sans doute, ou thomiste de stricte discipline, celle qui déteste le Christ romantique auquel le XIXè siècle a rêvé, celle qui refuse l'alliage de kantisme et de christianisme qu'un Maurice Blondel tenta d'imposer aux catholiques, celle qui ne se satisfait pas de la "religion naturelle" dont on voudrait bien faire le culte officiel de la République en même temps que le message principal de l'Église du Christ.
Oh! Tout cela nous emmène loin de vos préoccupations, loin de certaines de vos professions de foi les plus solennelles, je le sais, et loin aussi de cette "part du diable" dont parle Maffesoli, à laquelle vous n'êtes pas insensible et qui représente pour vous l'éventualité, jamais à exclure, des itinéraires paroxystiques. Quant à moi, dans cette part-là, je retrouve la grande ombre de ce saint Paul que vous n'aimez pas, mais qui a averti l'humanité de l'étrange bal que menait Éros, invinciblement attiré par Thanatos, cette mort qui est son destin... En ce point, je crois, notre discord n'est pas réductible. Vous ne voulez pas croire à la fatalité gratuite du Bien, qui est le fond du christianisme, mais vous voulez croire à la possibilité de l'innocence, vous entretenez la pensée de l'éternel retour et de sa miraculeuse ingénuité. Quant à moi, je récuse toute innocence, comme orgueilleuse et trompeuse, mais je crois à la fatalité du Bien: je sais que - par grâce - la lumière est au bout du chemin et non dans quelque clairière de l'être où il nous faudrait batifoler pour tenter d'avoir l'air.
Il reste, cher Alain, qu'à tout moment l'événement peut nous rapprocher, quand bien même certains principes parmi les mieux assurés semblent éloigner définitivement nos deux démarches. Verum et factum convertuntur, le vrai et le fait sont convertibles disait Vico, qui voyait là le fin mot de la sagesse des Italiens. L'amitié qui nous unit est un fait. Les jugements critiques que nous partageons sur le christianisme modernisé et modernisant constituent un autre fait, capable pour le moins de susciter la curiosité d'un historien des idées qui aurait appris à être impartial. La détestation de toutes les nouvelles morales et le recours à l'antique qui nous sont communs représentent, me semble-t-il, un troisième fait, digne de considération. Tous ces faits, loin des convenances et de la langue de bois, loin des partis pris et des préjugés, me semblent peser leur poids de vérité... Et j'ai appris, quant à moi, à répéter, avec une émotion toujours renouvelée, que "qui fait la vérité vient à la lumière".

L'Abbé Guillaume de Tanoüarn, prêtre de la Fraternité Saint Pie X, dirige les revues Pacte et Nouvelles Certitudes.


La discussion

 L'ABBÉ DE TANOÜARN EST-IL DU CAMP DU CHRIST OU D [...], de Florent-Jean [2004-07-12 17:40:18]
      Eclaircissement..., de Merkur [2004-07-12 18:05:03]
      Eclaircissement... (II), de Merkur [2004-07-12 18:13:48]
      Suite et fin, de Merkur [2004-07-12 18:21:37]
          A Merkur, de Florent-Jean [2004-07-12 18:27:53]
              Je ne donne pas dans l'anathème: peut-on discuter [...], de Merkur [2004-07-12 18:31:33]
                  Laissez tomber, jeune ami, de Herman Wald [2004-07-12 18:41:01]
                      Oui, laissez tomber svp, de Assum [2004-07-12 20:28:46]
                          Que reprochez vous à Athanasios et JMR, de EA [2004-07-12 22:08:26]
                              Au fait..., de Athanasios D. [2004-07-12 23:54:54]
                                  Très drole!, de olo [2004-07-13 09:28:12]
                                  L'a t-il dit ou écrit ?, de EA [2004-07-13 16:40:55]
                              je conviens, de Assum [2004-07-13 01:38:37]
                                  I give up, de EA [2004-07-13 16:45:55]
                      Bon retour parmi nous!, de Athanasios D. [2004-07-12 23:52:17]
                  Discussion ?, de Florent-Jean [2004-07-12 18:54:42]
                      Maurras apostasié?, de Marc B. [2004-07-12 19:17:16]
                          Maurras et la Foi, de Florent-Jean [2004-07-12 19:31:02]
                              Et ?, de Justin Petipeu [2004-07-12 20:20:10]
                                  oui,, de Marc B. [2004-07-12 20:22:21]
                                      Maurras, de Florent-Jean [2004-07-12 20:35:28]
                                          Des tonnes..., de Merkur [2004-07-12 20:50:47]
                                              Bêtises ?, de Florent-Jean [2004-07-12 21:08:00]
                                          Drôle..., de Justin Petipeu [2004-07-12 21:10:42]
                                              C'est ni plus, ni moins du libéralisme !, de Florent-Jean [2004-07-12 21:34:45]
                                                  Pourtant,, de Marc B. [2004-07-12 21:44:00]
                                                  Y'a un bug, là, non?, de Rémi [2004-07-12 21:44:04]
                                                      Bourbons, de Malalou [2004-07-12 21:56:19]
                                                          Corrections..., de Florent-Jean [2004-07-12 22:09:38]
                                                              encore une fois, de Malalou [2004-07-12 23:01:14]
                                                                  Les orléans, bien sûr...., de Florent-Jean [2004-07-13 08:25:54]
                                                                      mais les orléans sont des bourbons , de Adso [2004-07-13 17:07:58]
                                                                  Légitimité, de Rikiki [2004-07-13 10:47:26]
                                                                      ascendence davidique des rois de France, de Adso [2004-07-13 17:10:36]
                                                                          chhhhuuut !, de Rikiki [2004-07-13 17:14:49]
                                                                          Cette ascendance davidique est fantaisiste,..., de Jean-Mathieu Robine [2004-07-14 14:01:57]
                                                                              Démontrez qu'elle est fausse, de EA [2004-07-14 14:11:50]
                                                                                  Tout ou presque est déjà dans le fil..., de Jean-Mathieu Robine [2004-07-14 14:39:58]
                                                  Débilissime, de Justin Petipeu [2004-07-12 21:58:24]
                                                      Attention,, de Marc B. [2004-07-12 22:01:32]
                                                      Nationalisme = vanité !, de Florent-Jean [2004-07-12 22:39:22]
                                                          D'accord..., de Justin Petipeu [2004-07-13 08:15:19]
                                                              - Vous défendez..., de Florent-Jean [2004-07-13 08:48:30]
                                                                  Répondez plutôt..., de Justin Petipeu [2004-07-13 09:53:22]
                                                                  Euh ..., de PGM [2004-07-14 07:00:51]
                                                              Prenons de la hauteur., de Réginald [2004-07-13 09:23:13]
                                                                  Mais c'est ce que, de Justin Petipeu [2004-07-13 09:40:00]
                                                                      Réponse, de Réginald [2004-07-13 09:47:31]
                                                                  Ah, Maurras..., de Camomille [2004-07-13 11:56:27]
                                                      Salut, ô cabri !, de Rikiki [2004-07-13 10:53:46]
                                                          Je m'en rappelle..., de Justin Petipeu [2004-07-13 10:56:42]
                                                              Gymnastique, de Rikiki [2004-07-13 11:01:58]
                                                                  GRAND BRAVO à Florent-Jean, de Ravioli [2004-07-13 13:32:49]
                                          vous êtes découvert..., de juventas_christi [2004-07-13 09:43:41]
                                              Nuance..., de olo [2004-07-13 10:10:35]
                                              ouais yen a assez de la Gnose !, de Adso [2004-07-13 11:29:38]
                      (vérité sans charité), de Chris [2004-07-12 19:24:52]
              Réponse ( après je m'en vais), de Merkur [2004-07-12 18:43:41]
                  Alain ?, de Le webmestre [2004-07-12 18:46:02]
              A Florent-Jean, de Cathether [2004-07-12 18:58:56]
                  Prions..., de Merkur [2004-07-12 19:05:40]
                      Son jeune âge, de Herman Wald [2004-07-12 19:21:45]
                  Du discernement (à Cathether), de Florent-Jean [2004-07-12 19:12:06]
                      Presentation de Florent-Jean, de Malalou [2004-07-12 19:45:18]
                          chapelle, de Florent-Jean [2004-07-12 20:15:34]
                              Avez-vous lu..., de Lux Æterna [2004-07-12 21:16:40]
                                  Je crois que nous avons affaire ici, de Le webmestre [2004-07-13 00:03:27]
                                      Si vous me le permettez, de Rikiki [2004-07-13 10:43:40]
                      J'admire votre conversion, de Cathether [2004-07-12 22:36:30]
              Quels sont les et/ou vos critères , de Malalou [2004-07-12 19:59:26]
                  "Païen" ?, de olo [2004-07-12 20:16:50]
                      personnellement, de Malalou [2004-07-12 20:21:14]
                  Réponse à Malalou, de Florent-Jean [2004-07-12 20:24:40]
                      une pauvre petite catho, de Malalou [2004-07-12 20:39:40]
                          Pauvre petit catho, également !, de Florent-Jean [2004-07-12 20:49:15]
                          Una cum, de FM [2004-07-13 10:44:16]
                              c'est..., de juventas_christi [2004-07-13 11:08:33]
              Seul Florent sonde les coeurs, de FM [2004-07-13 10:00:31]
          Admettez-vous donc, de olo [2004-07-12 18:29:49]
      Sur le fond,, de Rémi [2004-07-12 18:45:19]
      LA TRADITION A BESOIN D'INTELLOS, de Ravioli [2004-07-12 22:44:43]
          M. l'abbé de Tanouarn, de Le webmestre [2004-07-12 23:20:25]
              Désolé, j'insiste: "Super-Tanoüarn" et voici po [...], de Ravioli [2004-07-13 13:07:57]
                  Je ne vous suis pas..., de Camomille [2004-07-13 14:06:51]
                      Certes, mais Bossuet, Richelieu et Mazarin, de Ravioli [2004-07-13 19:57:35]
                          des mélanges..., de FH [2004-07-13 22:23:19]
                  D'acc avec vous !, de Rikiki [2004-07-13 15:05:59]
                      Rikiki?, de FM [2004-07-13 15:14:22]
                      Il n'empêche ..., de Camomille [2004-07-13 15:34:52]
          Et si c'était un conciliaire ?, de BONNOU [2004-07-13 09:15:07]
              les conciliaires comme vous dîtes, de FM [2004-07-13 10:29:08]
              ------- pour Bonnou -----, de Jérôme A. [2004-07-13 11:45:01]
                  Ne fac cacare, bibe astum, de BONNOU [2004-07-13 12:18:37]
                      correctif, de BONNOU [2004-07-13 12:23:48]
                          ------- pour Bonnou / suite -----, de Jérôme A. [2004-07-14 08:49:06]
                              je comprends mieux, de BONNOU [2004-07-14 12:58:16]