... est aussi une nouvelle espèce droit-de-l'hommesque assez curieuse, sans doute le fruit de l'accroissement tentaculaire des tissus(sic) associatifs aux définitions éthiques plus qu'ambiguës ou évolutives sur notre territoire juridique, fiscal, et fortement politique.

( ou alors une personne intelligente aura la bonté de m'expliquer le pourquoi du comment )

Cela me surprenait un petit peu et m'amusait fort de trouver dans la presse il y a un an ou deux la déclaration d'une personne responsable de la communication, du lobbying comme elle disait, d'une grande association brassant beaucoup d'argent se présenter en tant que bénévole salarié !

Son salaire du reste était le double du mien, ce qui ne me dérange pas le moins du monde, mais je n'ai jamais prétendu être bénévole dans ma société.

J'exerce le bénévolat - le vrai - ailleurs et je n'aurais pas l'incongruité d'offrir à un ami un cadeau payant ou de lui dire que je lui vends un service à titre gracieux...

Bref, ma réflexion ne recouvre pas totalement la problématique soulevée par Armarvir - la pauvreté plus cossue que la retraite ou le salariat famélique - mais elle chemine volontiers à ses côtés en relevant quelques paradoxes aussi comiques que roboratifs.

Avec les intellectuels et les bureaucrates qui fourmillent dans ces "structures" caritatives, c'est vraiment la défonce de la langue française !

Bonne journée !

Hepzibah