Chers liseurs et néanmoins amis(?),

je suppose que tout comme moi vous avez été subjugués par le discours du Pontife régnant lors de son passage au couvent des Bernardins. Un texte d'une densité et d'une érudition remarquables et qu'on ne cesse de relire en y trouvant toujours quelque chose de nouveau à méditer...même si ce quelque chose est parfois difficile à cerner pour une caboche comme la mienne.

Et je suppose que tout comme moi, vous êtes un peu surpris du silence poli qui entoure cette allocution. (S'il est dû au recueillement, c'est tant mieux).

Je vous propose de la relire attentivement et de nous retrouver plus tard pour que chacun puisse écrire ici ce qu'il en a retiré. Ce sera sans doute une occasion de nous aider les uns les autres.

A plus tard, donc...