Il me semble que le sujet de la création de paroisses personnelles n'a pas été abordé au cours des différentes interventions, si j'en crois le compte-rendu précédent.
Or, si l'ouverture au rit "extraordinaire" est une avancée incontestable, il est fait peu de cas de la "sensibilité" des paroissiens.
Si quelques prêtres acceptent de célébrer selon cette forme:
1- Ce n'est pas toujours de gaïté de coeur (cela est même parfois flagrant et désolant)
2- Qu'en est-il du catéchisme, de l'accompagnement spirituel, des sacrements ...
La vie en province semble plus compliquée qu'en région parisienne sur ces points, et si nous sommes tolérés en certains lieux pour la messe, nous devons bien souvent aller chercher le reste ailleurs.
La création de telle paroisses est incontestablement une solution idéale sans s'éloigner pour autant de la vie des diocèses.