-+JHS+-

Bien sûr, il ne compte pas pour le Bon Dieu qui est.
Mais nous?
Nous nous sommes créés, et nous passons.
Le mieux que nous puissions faire, en passant, c'est comme la petite Thérèse: notre purgatoire sur la terre pour aller au ciel.
Et ça, ce n'est possible que si l'Église nous conduit.
D'ailleurs, Notre-Seigneur nous l'a dit:
"Le Père qui est vivant m’a envoyé, et je vis par le Père."
"Nul ne vient à moi si le Père ne l’attire. Nul ne va au Père si ce n’est par moi."
Et qui demande à son Église d'enseigner à toutes les nations?
Le peuple de Dieu a besoin de l'Église.
Tout le peuple de Dieu, pas seulement un petit reste, fut-il non plus celui d'Israël, mais celui de l'Église catholique.
Depuis que j'ai compris cela, je ne crois plus de la même manière.
Je sais que je suis responsable de mon frère.
Voilà pourquoi le temps compte.
Pas seulement pour le Saint-Père qui est un vieil homme, mais pour tous ceux qui iront croupir au purgatoire parce qu'ils n'auront pas trouver le poteau indicateur: Paradis.
J'écris cela sans aucune acrimonie et je souhaite à tout le monde une bonne nuit: je vous lis encore, mais j'ai usé mon quota!
A demain les pingoins (et les autres).

Une prière pour le Souricier et tous ceux qui ont du souci, des chagrins.

P.S. Ceci, Semper, était un autre poème. Une prière. Pas de la théologie.