Dans cette comparaison, la cartouche représente la FSSPX dans sa capacité à signer un accord, ce qui est une action unique et relativement importante pour la suite des relations avec les traditionalistes.

Vous omettez volontairement l'hydre moderniste s'il s'agit d'un chasseur survivra t'elle ou pas à la signature de cet accord...?

c’est lui et lui seul qui se retrouverait devant la bête, face à face, et lui seul qui appuierait sur la gâchette.

Qui est la bête face à laquelle on signe?
Si votre interprétation est la bonne, le modernisme, la réintégration même dans 100 ans de la Frat serait ce but unique?
Votre interprétation malgré quelques précaution sous estime l'Eglise sans ce chasseur non?

Cet enjeu – important de manière relative – est unique car seule la FSSPX doit le signer le jour venu - demain, dans dix ans, dans cent ans, nul ne le sait. Soit les communautés

La FSSPX dans sa capacité à signer un accord soit...
Mais là ou je trouve que cela manque de cohérence c'est:

la FSSPX doit le signer le jour venu - demain, dans dix ans, dans cent ans, nul ne le sait.

Pour vous le fait que l'Eglise signe un accord avec la Fraternité continue selon toute vraisemblance à être l'élément permettant de lutter contre le modernisme. Réintégrer la Fraternité est ce lutter contre le modernisme?
Nul ne le sait mais l'on pense dans 100 ans se retrouver seul devant la bête?

Mais alors?

Tout le monde demeure bien conscient que les actions – prières, messe, discussions – sont multiples dans l’Église pour combattre l’erreur. Aussi, la lecture consistant à faire de la FSSPX l’arche du salut est-elle erronée.

Les protestants et les orthodoxes pourraient revendiquer votre interprétation non?

Je crains que dans la pensée de l'auteur au travers de cette parabole, il y ait l'espoir par cet acte unique d'abattre l'hydre moderniste ce qui ne pourrait être sans cela.

Et si l'Eglise en signant l'accord elle n'avait qu'un souci pastoral de plus?