Cher Noël,

Comme vous y allez, avec votre mauvaise foi. Permettez-moi de dire que j'avais réagi dans le même sens (mais je n'avais pas l'intention de m'attirer une critique supplémentaire) que l'abbé de Tanoüarn - et pourtant, je n'en suis pas ce que vous appelez un "admirateur". Admirer un homme, quel qu'il soit, c'est viser bien bas...

Mais la Fraternité, dernière cartouche, c'est condamner l'Eglise, en la mettant, quel que soit la qualité du tireur, entre les mains d'une institution humaine. Alors que, justement, et bonne grille de lecture (selon l'expression curieuse que vous employez), c'est elle qui nous sauve !

Dieu ne joue pas avec nous le coup de la dernière cartouche. S'il l'a fait, c'est avec les anges. Et, peut-être, au paradis terrestre.

Non ! la seule dernière cartouche, pour nous humains (et même non-croyants), elle est sur la croix. Il n'en est point d'autres par lesquelles il nous soit donné d'être sauvés !

La Fraternité reste un merveilleux exemple du conteur qui sait encore raconter comme il convient cette histoire de notre salut. Cela n'en fait pas son auteur...

Amitiés à tous,

Olivier Figueras